Rapport moral
« Terrain d’Entente nous aide à trouver notre place dans cette société qui ne veut pas de nous »
Depuis 11 ans, nous assurons une présence sur le quartier de Tarentaize, tout au long de la semaine, tout au long de l’année.
Notre démarche volontaire de faire toujours le premier pas, notre effort permanent pour tenter de comprendre comment le quotidien est vécu par les familles, nous permet de nous engager dans des actions qui reposent sur des besoins réels, des aspirations manifestées.
L’objectif est de rendre visible ce qui est caché et de créer une dynamique collective pour régler des problème concrets.
Ce qui est caché ce sont les impacts de la précarité dans le quotidien des familles.
– Des enfants en situation de rue qui se retrouvent sur l’espace public sans présence adulte, ou bien des enfants seuls dans les appartements.
– Des ressources insuffisantes. Des logements surpeuplés. Pas de travail stable, des tâches qui provoquent des troublent invalidants très précoces.
– Des jeunes en galère, avec des parcours scolaires qui les ont mis en souffrance, une absence de perspective de travail, de formation, d’accompagnement. Des jeunes sans ressource qui n’ont que le deal pour s’assurer un pécule avec des conséquences pour certains dramatiques.
– Tendance pour beaucoup à l’isolement: parler de ses problèmes c’est la honte et la peur d’être jugé.
La dynamique collective se crée à partir du moment où on sait aller à la rencontre des gens, où on assure des temps de présence réguliers et fiables, où on est attentif à ce qui que manifeste.
Dans ces conditions là, les gens sortent de chez eux, s’organisent, réalisent des projets.
Une expérience micro locale pleine de richesses, mais qui transforme pas le quotidien. Il faut sortir de l’isolement, s’engager avec d’autres collectifs pour croiser des centres d’intérêt et des préoccupations et sortir du cloisonnement des espaces sociaux où on ne se rencontre plus nulle part dans notre diversité. Que ces questions de précarité soient posées à l’ensemble de la société, en terme d’inégalités des droits.
Rapport d’activité 1 – initiation de différents collectifs Condition de travail des femmes de ménage :
Une journée consacrée aux entreprises de nettoyage avec la LDH en Décembre 2021.
– projection du Film Ouistreham, débat avec des témoignages d’agents du nettoyage, la participation d’un inspecteur du travail et des représentants de l’ UL CGT Saint-Etienne et du CTPEP-CGT Saint-Etienne. (Comité des Travailleurs Privés d’Emploi et Précaires).
– Conférence débat avec deux universitaires, auteurs de Deux millions de travailleurs et des poussières. (problèmes économiques engendrés par la généralisation de la sous-traitance du nettoyage, conséquences sur la qualité du travail, les personnes qui le réalisent, financières portant sur les institutions de protection sociale). Ils en ont tiré des orientations d’actions pouvant pallier ou réduire ces diverses conséquences.
– Réflexion sur la suite de cet évènement avec une avocate spécialiste du travail, et les personnes déjà impliquées.
Labo de co éducation. Croiser et coordonner nos expériences et nos pratiques Construire des alliances éducatives et une cohérence entre les différents temps éducatifs (école, maison, structures) Adapter des pratiques éducatives face à des enfants inquiets, malmenés, préoccupés par un quotidien instable et incertain. Cette nécessité d’une approche globale de l’enfant dans son environnement familial et social ne peut pas être de la seule responsabilité de l’école, tous les acteurs du champ éducatif doivent s’engager dans ce travail si on veut espérer de réels changements. Il faut tout un quartier pour élever un enfant.
Participation au Groupe de travail « Education » TBC, qui rassemble les différents acteurs du champ éducatif du territoire pour faire cette proposition. Plus d’une année a passé depuis l’annonce de ce projet et aucune action n’a vu le jour sur notre territoire. Nous sommes pourtant au coeur des difficultés les plus crûment manifestées par les enfants, les jeunes, leur famille et les différents acteurs éducatifs.
Au Chambon, depuis octobre des agents municipaux: la coordinatrice parentalité et du développement de l’action éducative, la référente soutien à la parentalité expérimentent une méthodologie avec des groupes de paires. Terrain d’Entente apporte sa contribution à ce groupe de travail.
Le Toit Forézien en Septembre 2021. Action avec les locataires de la Rue Joe Gouttebarge, sur les problèmes d’entretien des espaces collectifs. Des problèmes récurrents de propreté sont déplorés depuis plusieurs années: les allées, les escaliers, les étages. Alors même que les locataires payent des charges importantes. Les ascenseurs tombent régulièrement en panne. Les volets ne se ferment plus dans certaines chambres. Des interphones ne fonctionnent pas. Les conteneurs à poubelles ne sont ni lavés ni désinfectés, plusieurs d’entre eux n’ont plus de couvercle. Ils restent dehors sur le trottoir durant plusieurs heures dans la journée. Les battants pour accéder au local à poubelles sont souvent bloqués et obligent les locataires à laisser les sacs-poubelles dehors ce qui attire des rongeurs. Ces problèmes sont survenus lorsque le bailleur a fait le choix de faire appel à des prestataires extérieurs pour la gestion de l’entretien des bâtiments.
Les actions menées: Elaboration d’une lettre pétition avec plusieurs locataires, porte à porte pour informer les locataires de cette initiative et recueillir leur témoignage. Transmission du courrier avec photos au directeur sans aucune réponse à notre demande de rencontre. Interpellation du CDAFAL (association de consommateurs agréée par les pouvoirs publics) qui envoie le même courrier et obtient un entretien où une dizaine de locataires ont pu évoquer les problèmes. Quelques réparations ont été constatées, le problème des conteneurs à poubelle n’est pas réglé, l’entretien n’est toujours pas satisfaisant. Affaire à suivre!
L’alimentation de qualité accessible à tous,
Contribution à la dynamique de VRAC: membre du CA, présence sur les temps de distribution, les ateliers cuisine
Le coût de la nourriture reste une préoccupation permanente. Il y a de plus en plus de recours à l’aide alimentaire.
Comment permettre à chacun de se nourrir correctement et de manière digne? Cette question de l’alimentation traverse tous les champs: il s’agit de réduire les inégalités, de penser une juste rémunération des producteurs, répondre aux enjeux environnementaux, et à la question sanitaire.
Le collectif de solidarité alimentaire s’est constitué pour tenter d’autres réponses. Il concerne une vingtaine de structures: associations, producteurs, distributeurs, restaurateurs.
Développer la mutualisation de toutes ces ressources pour appréhender la réalité dans toute sa complexité. Nous adresser à ceux pour lesquels rien n’est accessible et qui ne sont pas partie prenante de tous ces réseaux. Tenir compte de leur expertise pour avancer est indispensable.
Le projet qui se développe:
– paniers solidaires avec: l’ AMAPS, les Jardins d’Oasis, Terrain d’Entente.
En Octobre: rencontre avec l’AMAP du quartier où 17 adultes avaient participé. Visite de la ferme du jardin d’Oasis avec 15 adultes: projet d’atelier cuisine pour prendre l’habitude d’utiliser les légumes bio dans leur intégralité; Depuis Décembre 2021, 13 paniers disponibles . Chaque quinzaine les familles viennent les récupérer pendant la distribution de l’AMAP.
Certaines familles ont renoncé, d’autres s’inscrivent. Nous devons prendre en compte la difficulté pour beaucoup de s’inscrire dans la durée. Accepter cette part d’incertitude qui est la réalité quotidienne des familles. L’AMAP a accepté de bouger les lignes de son fonctionnement. (pas de panier nominatif)
Un petit bilan sur les 4 mois de fonctionnement: pour les paysans: 30% de débouché en plus; pour les familles: 20 familles ont découvert ce mode de consommation, un système de solidarité s’est organisé: certaines familles ont payé des paniers pour celles qui ne pouvaient pas. Amel a permis que cette distribution soit possible durant toute cette période.
– Le parrainage à la Fourmilière, pour permettre son accès à d’autres coopérateurs. Deux rencontres au magasin qui ont concerné 15 personnes. Beaucoup d’intérêt manifesté pour la démarche: des produits de qualité, favoriser la production locale, être partie prenante, responsable collectivement et non pas simplement « client ». Face à la difficulté manifestée à s’engager pour 3 heures d’affilée, une proposition de créneau de 2 heures a été réalisée. Face à la difficulté à financer la part sociale: une proposition de « part sociale suspendue » (financée par les coopérateurs) a été faite pour soutenir l’effort. 10 personnes commencent à s’impliquer.
– Initier des rencontres paysans/ quartier. Avec le collectif Coop Sol 42. En Novembre: un après midi à la ferme proche du quartier avec 12 adultes. Présentation du travail d’élevage. Visite de la terre de 100m2 prêtée par le paysan, mise en culture des patates en Avril, entretien collectif du champ durant l’été. Ramassage en Septembre, répartition de la cueillette entre ceux qui ont assurer le travail, vente du surplus dans le cadre de VRAC. Des perspectives de cueillette avec des paysans qui livrent l’AMAP. Les personnes impliquées seront « rémunérées » avec la possibilité d’accès à la caisse de solidarité.
– Appel à constituer un Fond de Solidarité dans les magasins (prix arrondis en caisse, don des points de la carte de fidélité, fruits et légumes suspendus, invendus) Une tentative pour rendre plus accessible le prix coûtant de VRAC, permettre l’accès aux magasins (carte solidaire), augmenter le nombre de paniers solidaires et renforcer le travail des Brigades. Les distributeurs constatent une inquiétante baisse de fréquentation de leur magasin. Les producteurs doivent pouvoir développer leurs débouchés. L’augmentation des consommateurs est un enjeu pour chaque partie. Cette caisse de solidarité relève de notre intérêt commun. Un appel à projet, issue de la politique des bio coop va compléter de manière substantielle cette caisse. Ces actions seront lancées à partir de septembre 2022 sur une année.
A terme nous souhaitons construire une réflexion avec les producteurs, les distributeurs, les consommateurs pour rechercher un mode d’organisation qui nous permette de définir collectivement ce que nous voulons manger, comment on le produit, de façon à ce que ceux qui nous nourrissent puissent vivre dignement et comment en assurer l’accès à tous?
Le nombre de personnes en insécurité alimentaire est bien trop élevé pour faire reposer la réponse politique sur le secteur associatif. C’est d’une vraie politique de protection sociale qui inclut le droit à l’alimentation dont nous avons besoin. Nous commençons à réfléchir aux perspectives de la sécurité sociale de l’alimentation
Unipopia: Université Populaire d’Ici et d’Ailleurs.
1ère Rencontre « des collectifs de précaires » à Grenoble les 21,22,23Octobre 2021, à l’initiative de « Parlons en! » (les victoires obtenues pendant la pandémie: le lien au politique, le travail social et ses limites, la place des précaires). 4 femmes de TE étaient présentes.
Participation à la construction du projet Unipopia soutenu par la Fondation Abbé Pierre.
Ses objectifs:
« Se faire entendre » et « exister » en affirmant nos capacités et nos savoirs face aux institutions, aux décideurs ; Faire société autrement. Ceux qui sont l’objet de recherche des politiques sociales sont acteurs et pilotent les actions.
Première rencontre Unipopia Rhône Alpe le 18 Juin, à l’initiative de TE autour de la question de l’alimentation avec la participation de Vélo en Quartier, VRAC St Etienne, Collectif SSA
2 – Notre relation éducative auprès des enfants et des jeunes.
Les ateliers de rue tout au long de l’année aux pieds des immeubles, restent le moyen le plus fiable d’entendre les besoins et les aspirations de tous ceux qui nous rejoignent durant ces RDV. Nous avons donc développé différentes actions.
Le soutien scolaire
3 temps pour les enfants d’âge primaire et les collégiens (une soixantaine sur les 3 temps) Nous n’imposons pas de contrainte d’inscription et d’horaire, un créneau de 2 heures est à disposition des enfants qui restent le temps nécessaire pour terminer et comprendre leur travail. Chaque fois que possible quand un enfant arrive sans travail on lui propose des jeux éducatifs, des lectures.
La répartition des adultes se fait en fonction des difficultés, si nécessaire un adulte pour un enfant. Des temps de régulation d’équipe sont prévus à chaque période de vacances.
– des enfants qui ont repris confiance dans leurs capacités et qui retrouvent du plaisir à apprendre.
– manque moyens matériels et humains pour faire face à toutes ces demandes: comment assurer un accueil pour tous les enfants qui en ont besoin?
Un temps spécifique dédié aux « décrocheurs ». Des collégiens qui n’arrivent plus à trouver du sens à leur scolarité et qui cumulent les mauvaises notes, et des attitudes irrespectueuses du cadre scolaire. Temps d’échanges sur leur vécu, tentative de remise en confiance, réflexion sur des projets possible. Travail en partenariat avec le centre social.
Présence après l’école
Certains enfants ont besoin d’activités plus dynamiques quand ils ont terminé leur journée scolaire. Mardi soir après l’école, temps de présence sur l’espace Jean Ferrat pour assurer un temps d’initiation aux pratiques sportives auxquelles les enfants n’ont pas accès (partenariat vélo en quartier, club de hand, rollers entraînement foot multi âge, avec les filles et les garçons…, présence d’un animateur d’explora, de Simon de la Médiathèque).
Il faudrait assurer ce temps de présence après l’école, chaque jour de la semaine et prévoir d’autres initiations sportives et culturelles, sur d’autres espaces, avec d’autres équipes d’animateurs.
Prise de contact avec le LAEP pris en charge par l’Amicale de Beaubrun. Une animatrice est venue présentée cet accueil au café des femmes. Un premier accompagnement par une salariée de terrain d’Entente avec une famille, d’autres en perspective.
La prise en compte des besoins des jeunes
Le café des ados. Il concerne environ 40 jeunes. Ce temps de présence est l’occasion de prendre en compte les difficultés manifestées par ces jeunes et d’assurer des accompagnements indispensables pour régler avec eux des problèmes concrets (recherche stage, formation, réorientation scolaire, réalisation CV, lettre de motivation, accès à la Garantie Jeune, jeux de sociétés, projets sorties, repérage difficultés spécifiques pour accompagnements individualisés (problème conduite addictive, délits, casiers judiciaires, conseil de discipline). Depuis septembre, le suivi de 10 ado en grande détresse est en place.
Partenariat avec Rimbaud depuis décembre: chantier TAPAJ 3 jeunes accompagnés, d’autres en perspective. Prévision d’une visite d’un éducateur au café des ados.
Rencontre avec AS de la Mairie responsable du dispositif jeunes.
Il est important qu’un espace dédié aux jeunes soit ouvert tout au long de la semaine et qu’un travail puisse être coordonné entre les différents acteurs du champ éducatif du territoire.
Les rencontres dans le cadre du foot à 7 Elles permettent à une quinzaine de jeunes de se confronter avec d’autres équipes sur le département. Ces rencontres hebdomadaires sont l’occasion de renforcer le cadre éducatif de ces jeunes, de leur permettre d’approcher d’autres réalités. Le nombre croissant de jeunes en demande nécessite d’augmenter ces propositions de façon très conséquente.
Beaucoup souhaitent trouver de quoi se faire un petit pécule pour réaliser des projets. Les chantiers de l’ACARS, de Rimbaud restent très insuffisants pour répondre à tous. Le deal devient une solution pour beaucoup. Le BAFA intéresse certains mais le coût reste inaccessible pour tous ceux que nous connaissons. Il faudrait qu’ils puissent être encouragés financièrement dans leur démarche de formation.
Les filles.
Depuis Septembre 2O21, à leur demande (des filles âgées entre 14 et 18 ans) un groupe leur est dédié Le nombre de jeunes présentes est variable à chaque rencontre. A ce jour, 12 sont concernées. Ce groupe a été nommé « Antre’L »
Il répond à certaines règles: la confidentialité, le respect, le partage. Ce temps a été proposé le samedi entre midi et 14 heures. Le temps a été un facteur important de mise en place de ce groupe. Il reste très fragile. Plusieurs raisons; les emplois du temps de chacune, leur responsabilité vis à vis de leur famille (beaucoup s’occupent des petits frères et soeurs), les relations qui évoluent, fluctuent entre certaines.
Des petits projets s’élaborent, des échanges autour de la sexualité, de la place des filles dans l’espace public, du décrochage scolaire…Les filles échangent entre elles des conseils autour de situations qui peuvent être complexes. Elles sont animées par un besoin de comprendre mais elles sont très contraintes par des représentations (la sexualité, la fratrie…) elles savent se saisir de toutes les opportunités pour se questionner: l’espace Jean Ferrat où elles nous rejoignent de plus en plus régulièrement, un voyage en voiture…
3 – Nos partenariats:
Ecole de l’oralité association qui propose des projets de création artistique de répertoires de musique du monde, musique ancienne, traditionnelle (ateliers hebdomadaires, stages, événements). Espace ouvert à la Comète au coeur du quartier.
Les rencontres au café des femmes, ont permis de mettre en évidence les difficultés financières d’accès aux différents ateliers pour de nombreuses familles. Un Fond de solidarité a été mis en place pour assurer la prise en compte du budget des familles et rendre possible l’accès aux ateliers artistiques
Plusieurs enfants ont pu participer aux différents ateliers sur l’année scolaire
Nous avons été bénéficiaires du projet danse multi age, »les 4 saisons » en Juillet: 8 adhérentes ont participé sur 5 demi journées. Ce Projet est reconduit pour l’année 2022/2023.
Centre Explora Etablissement de culture scientifique qui favorise de manière ludique l’apprentissage des sciences
Tout au long de l’année nous avons participé à un atelier par mois: 4 à 5 enfants étaient intégrés à un groupe d’enfants qui ne résidaient pas sur le quartier.
Présence sur le terrain d’un membre d’Explora 2 Mardis après l’école
Ecole de Hand: pour l’accès des filles à la pratique sportive
Présence sur le terrain un Mardi par mois après l’école. Plusieurs filles se sont engagées dans le club.
Plusieurs journées de découvertes tout au long de l’année salle Jean Gachet
Collectif du 8 Mars
Présence aux rencontres mensuelles. Participation aux différents évènements:
Animation 8 Mars sur la place Roannelle: vente de gâteaux au bénéfice de femmes en détresse
Réalisation de galettes sur l’espace jean Ferrat 19/03
Fête du collectif le 8/01
Les Moyens Du Bord
Poursuites des atelier cuisine une fois par mois en direction des adhérents entièrement organisé par les femmes
Ateliers poterie mères/enfants chaque période de vacances scolaires
Superstrat Accompagne des pratiques artistiques. Soutien le travail des compagnies et encourage les manifestations sur l’espace public.
Atelier danse mères/enfants à la Comète le 29/9 animé par danseuse professionnelle. 6 familles présentes. Participation au spectacle de cette comédienne en Juillet
Proposition de différents spectacles de rue tout au long de l’année
Médiathèque.
Nos liens se poursuivent. Simon est régulièrement présent sur le terrain de jeux.
Il a été accompagné cette année, à plusieurs reprises de Gyslain Ngueno: poète, écrivain, rappeur, dans le cadre de la résidence des poètes pour animer des ateliers sur l’espace public
Vélo en quartier
Nous avons cette année assurer le soutien des différents projets de cette association: Rencontre avec le député pour rendre possible la prise en compte de la situation administrative de leur salarié.
Participation au bilan le 7/2.
Contribution au film avec nos témoignages et participation à l’AG
Le projet réparation de vélo n’a pas pu se mettre en place. Reporté à la rentrée de septembre
Prolongement partenariat scout: projection photos des vacances de l’été en Octobre
Présence régulière de Sylvain au soutien scolaire
Présence de Lylie au café des femmes pour atelier langue
Conte musicale en septembre
4 – Le café des femmes
Rencontre avec les travailleurs sociaux pour faciliter les démarches administratives et répondre aux besoins spécifiques
– Médiatrice santé: plusieurs interventions
– Rencontre AS du Conseil départemental le 10/9
– AS Mairie de proximité responsable du dispositif jeunes
Poursuite de nos ateliers créatifs, bien être, linguistiques tout au long de l’année
Projet avec zoomacom qui veille à permettre l’appropriation collective des pratiques et des usages numériques
Plusieurs rencontres pour réfléchir à la possibilité d’une formation informatique et de dons d’ordinateurs.
Accompagnements individuels: 2 visites aromathérapeute
colis alimentaire pour 2 familles plusieurs fois dans l’année
5 – Notre mode de gouvernance: de Septembre à Février 3 salariés
4 Comités de pilotage: salariés, bénévoles, adhérentes
4 temps de formations équipe (salariés, stagiaires, services civiques)/bénévoles/adhérentes
6 – Les sollicitations extérieures
– Contribution au projet de la fête de quartier avec tous les partenaires du territoire et les habitants Ce travail a été reconduit
– Participation à la fête du pain de l’Amicale: le 17 Juin. 15 adhérentes ont animées cet après midi en réalisants des pizza cuites au feu de bois.
– Participation au GT éducation proposition du labo de co éducation
– Participation aux réunions ANRU avec des mères de familles et des jeunes.
– Un Photographe de la FAP a interviewé 2 jeunes et une mère de famille sur les conditions de vie pendant le covid. Leurs témoignages figurent dans le livre « Mal logés confinés »
– Participation Assises de la transition le 23 /9. Autour du travail du collectif Solidarité Alimentaire.
– GPAS (Groupe de Pédagogie et d’Animation Sociale). Contribution écrite de notre expérience de pédagogie sociale pour les Cahiers de l’Action.
Participation au projet recherche sur la question « pédagogie sociale et lutte contre les inégalités »
– Contribution au journal du MAN (Mouvement pour une Alternative Non Violente) Sur la question de la parentalité et de l’école.
– Participation à une recherche universitaire sur l’éducation populaire. L’Université de la Vie Associative (UVA), le laboratoire Éducation Cultures Politiques de l’Université Jean-Monnet, a entrepris en 2019 une enquête sur les associations d’éducation populaire à Saint-Etienne, pour recueillir, par le témoignage des personnes qui les animent, la vision des transformations auxquelles les associations sont sujettes depuis plusieurs années, et tenter d’en mesurer l’impact sur le fonctionnement des organisations. Le groupe a rencontré une dizaine d’associations stéphanoises pour interroger, plusieurs personnes impliquées.Les résultats feront l’objet d’une publication qu’on peut espérer en 2023.
Commentaires récents